jeudi 26 mars 2020

Coronavirus et islam: même combat?...Pas sûr!

Coronavirus et Islam, même combat ?...Pas sûr !

 26 mars 2020

A l’heure où j’écris ces lignes, notre pays – comme beaucoup d’autres – vit un événement « hors-série », dans ce sens que personne ne s’attendait à un tel assaut de la part d’un virus dont la vitesse de propagation et la radicalité laisse le genre humain sidéré.  Pensez donc, en 2020 – au vingt et unième siècle – comment un petit virus de rien du tout, issu d’un animal au nom de blaireau, ayant germé aux fins fonds de l’Asie se permet d’envahir notre planète, sans papier ni visa, pour tuer des honnêtes gens ? Comment, au moment où des drones, des robots, des véhicules font leur entrée en scène assistée d’intelligence artificielle, au moment où on se mobilise pour lutter contre toutes sortes de phénomènes y compris pour « sauver la planète », comment – disais-je – un misérable, un méprisable petit virus peut-il encore venir nous pourrir la vie, sans autre moyen de lutte que de compter sur sa longévité éphémère, le port de masques et le confinement de la population ? Il y a quelque chose de disproportionné et d’incompréhensible dans ce phénomène !

Mais nous ne sommes pas au bout de nos  peines car, si le coronavirus nous déboussole, nous contrarie, nous pénalise, nous affole quelques semaines, voire quelques mois, il est un autre virus qui maraude sournoisement, sans bruit, c’est l’islam. En effet, l’islam nous inocule le coranovirus. Il n’est pas contagieux, stricto sensu, mais il s’installe de façon irréversible, doucement, à petites gorgées et si la période d’incubation est beaucoup plus longue, pouvant durer des années, des décennies, l’infestation est implacable car facilitée et consolidée sous les bons auspices d’une classe politique complaisante, pleutre et démagogue. Il ne tue pas non plus d’emblée – encore que…-  mais il entraine des effets primaires connus comme la compassion ou l’insouciance ainsi que des effets secondaires comme l’accoutumance ou le manque de discernement. Le problème est que lorsqu’on prend conscience de la pandémie au coranovirus, il est toujours trop tard et pour longtemps. L’Espagne moyenâgeuse en fit les frais ; depuis la conquête musulmane de la péninsule ibérique par Tariq Ibn Ziyad en 711 jusqu’ à l’achèvement de la Reconquista en 1492, sous les règnes combinés de Ferdinand III et d’Isabelle la Catholique, il s’est passé quasiment huit siècles au cours desquels Séville, Cordoue et Grenade entre autres ont été le théâtre de l’influence islamique. La France, à la même époque, aurait pu aussi devenir un califat si, après avoir repoussé Abd-er-Rahman à Toulouse, Eudes d’Aquitaine n’avait pas sollicité l’aide du chef des Francs, Charles dit « Martel » pour, ensemble, mettre en déroute les musulmans à Vouneuil-sur-Vienne, en 732.

Les musulmans, montés sur leurs chevaux barbes, armés de yatagans en poussant des hurlements, se livraient à des incursions-razzias inopinées. Cette méthode de combat pouvait se révéler payante contre des ennemis disséminés, peu organisés et surpris mais elle ne fut pas adaptée face au véritable mur métallique que leur opposèrent les quelque trente mille soldats aquitains et francs.

En 2020, la méthode a changé, elle s’est adaptée aux mœurs et coutumes des nations ciblées en exploitant leurs failles administratives et légales afin d’obtenir des droits civiques élémentaires, et, nous le savons bien, quand un droit est acquis, il le reste !

Si, en ce moment, la lutte contre le Coronavirus reste une priorité avec « le masque et le gant », ne perdons pas de vue la lutte contre le Coranovirus avec « le casque et le yatagan» !

2 commentaires:

  1. Tu es un poète, FX ! Ceci dit, pour moi, l’événement hors série ce n'est pas le Coronavirus c'est la "guerre" et le confinement inutiles décrétés par Macron, qui n'a pas déclaré la guerre aux immigrés musulmans qui nous pourrissent autrement la vie et depuis bien plus longtemps.

    Ce confinement, c'est le blocage de notre économie, un abus de pouvoir, la revanche du petit fonctionnaire irresponsable sur la société civile responsable qui le fait vivre et qu'il jalouse.

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  2. A vous lire, je me rappelle ces petits moments très sympathiques de partage le matin au petit déjeuner. Un délice,une parenthèse en France. Celle que l'on aime. Celle pour laquelle nous sommes prêts à mourir. J'espère que nous aurons l'occasion, à nouveau de partager ces moments de dissertation sur l'histoire, le pays, la morale.
    Au plaisir de vous lire encore.
    Amicalement
    NdC

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